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L’écologie, un mot un peu moins utilisé depuis les deux dernières années, mais qui signifie toujours…

La science ayant pour objet les relations des êtres vivants avec leur environnement, ainsi qu’avec les autres êtres vivants, 

Dictionnaire Larousse

Une collaboratrice MPO de la France, a fait une présentation conférence précisément sur cette synergie habituellement associée à la nature avec nos existences en organisation.

Donc la personne, l’individu bref l’humain est la quintessence à l’existence et à la vie des organisations et entreprises et ce quel que soit la nature des services et des produits. Comme elle le dit, nous sommes la partie vivante de l’organisation. Tout le reste si vital soit-il, la chaîne de production, les instrumentalisations technologiques ne sont que le fruit de l’invention humaine.

Cette pertinente référence nous propose donc de saisir toute la portée d’une pensée d’écosystème entre les humains, les travailleurs, les gestionnaires entre eux et entre les modes de production propres à répondre aux besoins des demandeurs.

Les militants écologiques, les scientifiques préoccupés par la sauvegarde de la nature et de la qualité de vie en général invitent à s’inspirer de leurs réflexions afin de transposer dans nos organisations cette santé et cette diversité de contributeurs. Les ravages de la covid sur la santé mentale d’un point de vue globale ont encore des effets tangibles en cette fin de pandémie.

Il serait donc sage de profiter de ces déséquilibres sociétaux circonstanciels pour militer en faveur d’un meilleur équilibre écologique dans nos unités de services et de production afin de mieux traiter la personne dans son expression contemporaine.

Le personnel en manque dans nos commerces pourrait devenir une espèce en voie d’extinction, alors imaginons les départs impromptus des employés en survie de force de production qui songent à quitter leur entité de travail.

Il est donc impératif de poursuivre les multiples avenues qui s’offrent à nous propriétaires d’entreprises, gestionnaires et consultants afin de se mettre à l’écoute des suggestions et requêtes des personnels afin de stopper cette pollution de détresse humaine.

Il faut oser penser autrement, oser développer ce militantisme de gestion écologique afin de mobiliser les employées à assumer pleinement leur rôle comme contributeur et que les décideurs redoublent d’efforts pour trouver des solutions avant-gardistes pour sauver la vitalité du commerce.

Sauver la planète sans sauver la santé de nos organisations est une cause à résultat nul, la prise en main de nos écosystèmes est intimement liée aux nouveaux paradigmes sur le marché du travail, et ce, tant de la part des gestionnaires que des employé(e)s qui sont l’ADN de nos organisations.

Daniel Huot!