Telle est… l’autre question!
Il nous est fréquent de constater comment des groupes de citoyens ou des illustres dirigeants vont dans un sens ou dans l’autre!
Je parle ici d’un leadership positif misant sur la volonté de produire un courant social dit progressiste et constructeur, ou d’un leadership clairement négatif misant sur la destruction et le retour en arrière en matière de progrès humanitaire.
Vous me direz que tout est une question de point de vue social, d’adhésion politique et de rhétorique idéologique, oui, bien sûr!
Mais je suis justement de ce point de vue qui prétend que le national-socialisme des années 30 était fondé sur de fausses prémisses pour justifier des thèses racistes ainsi qu’une une action sociale barbare et invasive!
Et je suis de ce point de vue que les actuelles résistances des femmes et des hommes iraniens exigeant le libre port du voile est dans le camp des revendications démocratiques qui consiste à opter ou non pour l’application d’un mode de vie.
C’est ainsi qu’au fil des ans, certaines sociétés auront voté des lois bannissant les coups de fouets à l’égard des personnes ayant un mode de vie dit homosexuel!
Je reviens donc au concept de soit prendre la tête d’un mouvement ou perdre la tête en matière de décisions à connotation abusive, discriminatoire ou carrément iniques.
Nos mini-sociétés sont les organisations où de telles manœuvres peuvent s’afficher ; licenciement abusif, application du mode, deux poids deux mesures et décisions organisationnelles intempestives amenant à la déchéance de l’organisation.
À contrario, nous assistons également à l’expression fine et éclairée de leaders qui prennent la tête de tendances à caractère multi profitable dans l’intérêt des employés-es.
L’introversion et la faculté de savoir plaider coupable devrait tous nous amener à se poser ces questions à titre de décideurs : nos actes et nos modus operandi font-t-ils de nous des leaders qui perdent la tête ou qui prennent la tête de causes à bénéfices partagés?